Bonjour, voici mon témoignage qui je l’espère sera le début d’autres témoignages ici .
Donc n’hésitez pas à me livrer vous aussi vos témoignages.
Voici l’histoire de vie de Aïssa, une main Coon Blanche avec Pédigrée.
Tous commence quand j’ai emménagé dans mon second appartement avec Kayla, ma siamoise qui avait à l’époque 1 ans et quelques mois .
Nous venions de perdre mon berger australien pour des raisons de santé et Kayla avait eu le droit de devenir maman, suite à une demande de sa part en communication intuitive.
Ou elle a eu 4 beau chatons siamois qui normalement, allaient tous partir dans différentes familles.
Voyant que elle allait se retrouver seul , j’ai refait une communication avec Kayla, pour lui demander si elle voulait garder un de ses petits ou si elle voulait que je lui trouve une ou un compagnon de jeu.
Car elle allait bientôt se retrouver seul, et que avant Tayko mon chien qui lui tenais compagnie.
Elle avait eu Côme première compagnie, Kitty une minette sauvé de personnes qui avaient maltraités Kitty quand elle était chez eux .
Et Kayla l’avait connu chaton et avait grandit avec elle.
Donc elle n’avait pas l’habitude d’être le seul animal dans notre chez nous.
Kayla savait comme convenu dans la précédente communication, qu’elle serait stériliser après le départ de ses chatons.
Donc elle m’a dis lors de cette nouvelle communication, que garder un de ses chatons pour elle se serait agréable, mais que je devais choisir le chaton, car pour elle le choix était difficile.
Je lui ai donc proposé de laisser ce choix aux chatons .
Par contre, elle a exprimé une forte envie d’avoir une copine chat, pour pas sentir seul et pour retrouver le même type de complicité que avec Kitty, car elle m’avoua . Qu’elle avait aimé Tayko, mais qu’il était trop brusque et agitée pour elle .
Donc j’ai regardé les annonces et ai eu un coup de cœur pour une portée de main Coon en Valais.
J’ai contacté la personne et suis allé faire une visite dans le but de voir si le feeling passé avec un des chatons de la portée.
Ce qui fut le cas , avec une petite main Coon blanche de la portée. Qui est resté collé à moi et était intéressé.
Donc à mon retour, j’ai fait une communication avec Kayla si je pouvais ou pas réservé le chaton en question.
Et se fut validé avec enthousiasme par Kayla.
Donc je réservais Aïssa et posée mes questions à l’éleveuse si, elle voulait bien avant que je prenne Aïssa et payer le dernier montant, de faire un test de giardiose en faisant une analyse de selle .
Petite parenthèse : Car la giardiose est fréquente chez les éleveurs suisses ou d’ailleurs.
C’est contagieux, ça se transmets par la salive, le sang, l’urine, les selles.
Cela cause des diarrhées aïgues avec parfois du sang.
Les parasites qui cause la giardiose, s’attaque au organes et mange les nutriments de l’animal. Le chat ou le chien boit et mange beaucoup pour au final nourrir les parasites.
Ça rend l’animal aphasique, maigre, si c’est un chiot ou chaton, ça cause des problèmes de croissance Et ça peut même entraîner chez les jeunes animaux la mort.
La giardiose se déclare généralement quand l’hygiène n’ai pas bonne dans le lieu de vie ou quand un des animaux mange des selles ou urines contaminées ou si un animal contaminé le léche.
Il y a un traitement qui permet de guérir cela, mais les parasites causant la giardiose, peuvent s’endormir sous forme de kystes dans l’animal et revenir.
On dit généralement depuis la dernière déclaration de giardiose, il faut que pendant 5 ans, elle ne se manifeste plus. Et à ce moment là, l’animal est sorti d’affaire.
Elle accepta de faire l’analyse demandée. Elle me confirma par orale que Aïssa n’avait pas la giardiose. Et se fut une erreur de ma part, de la croire sur parole sans demander des preuves écrites.
J’accueil avec Kayla et finalement un de ses fils que j’ai gardé Totoro, Aïssa que je suis allé chercher chez l’éleveuse en fin de journée, deux semaines avant que la fratrie de Totoro rejoignent, chacun leur nouveau lieu de vie.
Aïssa est arrivé, au début, un peu de méfiance, mais elle finit par être rapidement acceptée dans notre famille.
Mais les jours passés et je me suis vite rendu compte qu’elle était aphasique.
Elle ne voulait pas jouer avec les chatons de Kayla, pourtant ils n’avaient que un mois d’écart, étrange.
Ils avaient beau avec Kayla essayer de la stimuler pour jouer, mais rien à faire.
En plus de cela elle avait de la diarrhée, avec la collaboration de mon vétérinaire, nous avons d’abord pensé à une allergie alimentaire donc, j’ai changé plusieurs fois de marque de nourriture et de type de croquettes ou pâtées.
A cette période, je n’étais pas encore nutritionniste en BARF.
Mais rien y fais, et on remarque avec ma vétérinaire que Aïssa avait de l’acné féline qui n’a pas forcément de cause défini, sauf une la matière des gamelles, pouvait en être la cause de ça et des diarrhées.
Résultat, j’ai changé les gamelles en plastique contre des gamelles en terre cuite.
L’acné disparaît, mais pas les diarrhées qui s’intensifient.
Donc je fais faire des analyses de selle et de sang . Et » bingo » ça n’a pas manquer, elle avait la giardiose.
Heureusement pour moi, lorsque Kayla venait d’avoir ses chatons, j’avais fais faire des analyses à la recherche de giardiose à plusieurs reprises par sécurité et ils étaient négatifs.
Donc quand Les résultats d’Aïssa étaient positifs, j’ai recontacter l’éleveuse, pour lui demander si elle avait une preuve de résultats négatifs ou positifs des analyses que j’avais demandé pour la giardiose sur Aïssa.
Surprise, elle n’avait que posé des questions à son vétérinaire et rien d’autres.
Je lui ai demandé de participer aux frais vétérinaires et de me rembourser sur le prix d’acquisition de Aïssa.
Elle a accepté que d’aider à une facture de frais de traitement, car entre temps, Aïssa avait contaminé Kayla et Totoro.
J’ai dû traiter tout le monde et ai mis une procédure à l’encontre de l’éleveuse pour qu’elle rembourse et participe plus au frais vétérinaire.
J’ai obtenu gain de cause avec ma protection juridique.
L’éleveuse, suite à ça à fait des examens et analyses sur les chats de son élevage qui ont été positifs et elle a fermé son élevage familial définitivement d’après ma protection juridique et mes sources.
Les analyses et les examens faits sur Aïssa, on aussi mis en lumière qu’elle souffrait d’inflammation chroniques des organes et d’une gingivite aiguë.
Elle n’avait plus de système immunitaire et la flore intestinale était détruite.
L’inflamation était un des effets secondaires et indésirable que la giardiose avait provoqué.
La gingivite révèle que la ou elle est née, l’hygiène n’était pas bonne . La gingivite chronique est une inflammation des gencives qui cause des douleurs et qui fait saigné les gencives, peut provoquer la perte de quelques dents.
Le vétérinaire me dit à la première saleté, Aïssa décédera.
Donc, elle m’a demandé si je voulais faire les soins nécessaires ou l’euthanasier, car Aïssa avait plus de chance d’y rester malgré les soins apportés.
J’ai fais une communication avec Aïssa pour lui expliquer la situation et les deux possibilités qui s’offraient à elle.
Elle me disa pendant cette discussion, qu’elle voulait vivre et se battre autant qu’elle le pourrait.
De mon côté j’ai fait des recherches et ai découvert grâce à l’aide, au soutien de mon compagnon , l’alimentation barf.
Je me suis renseigné. Puis former sur ce type d’alimentation, sur les réels besoins nutritifs de nos chats, et de nos chiens.
J’ai tout changer pour sauver Aïssa d’une mort certaine.
J’ai changé pour tous nos chats pour que du naturel pour l’alimentation, les anti-parasitaires et divers soins naturels, je me suis formée aussi pour ça.
Aïssa même avec les anti-parasitaires et vermifuge chimique du commerce, du vétérinaire; elle avait fréquemment des tiques.
Et avec l’anti-parasitaire naturel, il n’y a plus eu 4 tiques à retirer par jour, juste une ou deux .
Le vétérinaire lui a été contre car, rare sont les vétérinaires qui connaissent cette alimentation et les réelles besoins nutritionnels de nos chères chats ou chiens.
Normalement, Aïssa devrait avoir vécu juste une année, mais grâce à notre combats pour la sauver et surtout le changement total pour que du naturel .
Fait que aujourd’hui, Aïssa va sur ses trois ans.
Elle ne souffre plus d’inflammation des organes ou douleurs, la gingivite a pratiquement disparu, elle ressurgit que lors de stress, ce qui est rare.
Donc en conclusion : si j’avais écouté ma vétérinaire de l’époque, Aïssa n’aurait plus de dents et ne serait plus de ce monde.
Je ne me serai pas formé sur la nutrition crue et les soins naturels.
Nous n’aurions pas eu la chance de vivre à ses côtés et d’avoir des fou rire, autant de joie, de souvenirs.
Et ce n’est pas fini, grâce à l’envie de vivre de Aïssa.